Parce qu'elles sont inéquitables, parce qu'elles ne concernent qu'une minorité d'agent.e.s, parce qu'elles n'augmentent pas la rémunération de manière pérenne, parce qu'elles accroissent les inégalités entre les femmes et les hommes, les primes ne peuvent être la solution à l'urgence salariale. Lire le communiqué commun